Je (Adri) vous avais promis que quand j'aurai des nouvelles pour un boulot, je vous tiendrai au courant! Alors à défaut de devenir PDG chez Publicis, parce que "soi-disant" le poste était déjà pris, j'ai décidé d'ouvrir mon champ de recherche à d'autres domaines qui me tentaient bien, comme la cuisine! J'ai répondu à une petite annonce où un chef cherchait un aide-cuistot, pour une micro-brasserie de la rue Bernard (Bernère?!). Je lui avais clairement expliqué je n'avais aucune expérience en restauration, mais que j'adorais faire la bouffe et que j'étais prêt à m'investir! Ca lui a plu, donc il m'a donné rendez-vous mardi pour entamer une semaine de mise à l'essai. Moi qui ne savais pas quoi faire de mes samedis soirs, je vais être servi :)
Donc si tout se passe bien, si je ne casse pas des piles entières de vaisselle et si je ne brûle pas au troisième degré les employés en renversant une cuve d'huile brûlante (à cause du syndrome "Pierre Richard"), je devrais être occupé dans les prochains jours. De 17h à... la fermeture du restaurant (soit minuit en moyenne, et plus tard les fins de semaine). En somme, un bon gros temps plein, mais qui me laissera quand même du temps la journée pour chercher un autre boulot, et puis pour voir du pays!
Ah oui, sinon le restaurant s'appelle le HELM, vous pouvez voir son site web, ou consulter la vidéo ci-dessous pour vous faire une idée. Oui, le grand gaillard avec son bandana dans les cheveux, c'est Jean-François, alias le chef-cuistot. Force est de constater qu'il a une véritable passion pour son métier, ça fait plaisir!
Leur carte a l'air très sympa, ils ont pour ambition de proposer un maximum de produits québécois, cuisinés frais. En bref, j'espère pouvoir apprendre plein de choses là-bas!
Enfin, pour ceux qui se poseraient la question, le métier de "plongeur - aide cuistot", n'a rien à voir avec Jacques-Yves Cousteau, plongeur. Allez, en vous remerciant, bonsoir.
Enfin des nouvelles ! Pffiou, à croire qu’on s’était barrés dans les Laurentides pour chasser l’ours noir et survivre en mangeant de la graisse de phoque, après avoir vu « into the wild » (alias [intô teu ouïld] pour une personne qui se reconnaîtra).
Mais non, on est toujours là, toujours prêts à foutre le souk et tout le monde est cor-da… Ok, trêve de références obscures qu’à peine 1% des visiteurs – soit 10 000 personnes à peu près – ne peuvent comprendre.
En dehors des sempiternels « tout va bien, il faut beau, mais bon, pffiou, le fromage est très cher ici », oui, on va très bien, la météo est pas trop mauvaise jusque là, et OUI, le fromage est vendu à prix totalement prohibitif, alors on se rue sur des ersatz comme la mozzarella (sèche) ou le cheddar fort, faute de nous gaver de moisissures au lait cru. Mais bon, on se fait à cette idée (sinon on serait parti en Suisse ou en Italie), et puis on arrive largement à compenser les calories et différentes graisses du fromage en nous empiffrant de toutes les bonnes choses que l’on trouve ici !
Une petite référence aux fameuses "Têtes à claques"... Si vous aussi vous vous demandiez ce qu'étaient les "poptarts" du sketch! :)D'ailleurs, ici, les magasins regorgent déjà de 1001 décorations et bonbons d'Halloween!
Au niveau du boulot, c’est une Julie un peu usée que je retrouve tous les soirs. Tu m’étonnes ! Entre apprendre toutes les caractéristiques des nouveaux produits, devoir jongler avec les clients anglophones qui ne font parfois aucun effort, persuadés qu’ils sont que le Québec est officiellement bilingue – alors que ce n’est pas le cas. Je profite de mon statut temporaire de chômeur pour lui concocter des petits plats, et essayer d’accommoder les produits locaux avec mes recettes (ou l’inverse).
Pour ma part, pas de réponse des boîtes auxquelles j’ai postulé, mais j’ai toujours bon espoir, il y a beaucoup d’agences ici, des budgets qui font rêver (Adidas Originals, Apple, pharmacie Jean Coutu), mais aussi un niveau très élevé chez les créatifs. Et puis bon, je n’ai aucun pas de « réseautage », qui est, ici comme partout, le moyen le plus sûr de trouver un job. Bref, je remercie toutes les personnes qui me demandent où j’en suis dans mes démarches, mais promis, je ferai une annonce quand j’aurai trouvé un emploi ! En attendant, je pense me prendre une plainte ou deux pour harcèlement de la part des directeurs de création et directeurs artistiques, parce que je ne les lâche pas d’une semelle.
Du coup, j’ai pas mal de temps libre. Dimanche, j’ai été faire un petit tour au « Piknic électronique », qui est un festival électro qui a lieu tous les week-ends (pardon, toutes les « fins de semAaaïne »). J’ai eu la chance de voir Daedelus, du label Ninja Tune, qui a l’avantage d’avoir autant de talent que de rouflaquettes (mais jugez-en par la photo). En tout cas, mille mercis à Julie (la locataire) et Natacha pour ce bon plan !
Les "piknics électroniks", tous les dimanches pendant l'été à Montréal
Lundi, Julie était en congé… On s’est donc décidés à se promener dans le quartier, direction Saint-Hubert, une petite rue très sympa pleine de magasins de bric-à-brac, de parfumeries bon marché et de robes de mariage. Nos sens de l’orientation sont encore à affiner, puisque nous sommes arrivés, à notre surprise, au croisement de la rue Jean-Talon (du marché éponyme) et de Saint-Hubert (appelons-la « Saint-Hub’ », soyons tendance un minimum). Nous en avons profité pour boire un petit café au « El Mundo », qui, à défaut de servir des quesadillas, tapas, tortillas et autres joyeusetés latines en « âsse », proposait un excellent café, et des muffins absolument « succulents » à la banane, au soYa (soja) et aux pépites de chocolat, hmmmm !
La "plaza St Hubert"
Mercredi, nous avons été invités par Tatiana à une soirée crêpes dans une résidence de l’UQAM (NB : ce n’est ni l’Université des Quidams Analphabètes et Muets, ni l’Université du Québec des Attardés Mentaux, mais bien l’Université du Québec à Montréal). Ambiance très sympa, des étudiants d’un peu partout… Et même de Douai ! D’ailleurs c’est assez marrant, parce que les Québécois n’ont pas échappé à l’effet « Bienvenue chez les Ch’tis » et on nous sort souvent cette référence quand on dit que l’on vient de Lille !
Sinon, rien à voir, mais pas mal d’entre vous se sont déjà portés volontaires pour venir goûter à la culture locale, alors, comme on ne pourra (malheureusement) pas héberger tout le monde à la même période, on a décidé detenir un planning. Ne vous inquiétez pas, on pourra toujours s’arranger (et à un prix DÉMOCRATIQUE ! WOW !) pour que puissiez tous avoir votre expérience canadienne ! En tout cas ça nous fait très plaisir de voir autant de personnes motivées pour venir nous voir ! Sachez que vous êtes toutes et tous les bienvenu(e)s ;)
Un petit article pour vous tenir au courant des dernières nouvelles... Lundi, cela faisait un mois tout pile que nous étions sur le territoire canadien. Un mois, déjà! Nous en discutions, et d'un côté, nous avons l'impression que ça a passé très vite, de l'autre, que nous sommes ici depuis bien plus longtemps. Il faut dire qu'en à peine 4 semaines, il s'en est passé des choses! Entre la découverte de la ville, les 2 emménagements successifs, le job trouvé ...
...
Oui oui, vous avez bien lu : je (Julie) suis présentement en "emploi permanent -CDI- à temps partiel" à Montréal! Je travaille donc chez DeSerres, une grande boutique d'arts et de loisirs créatifs, à mi-chemin entre Graphigro et Picwic (sans les jouets bien sûr), n°1 du genre au Québec!
L'entrée
J'ai envoyé ma candidature le week-end dernier, et j'ai été contactée pour passer un entretien du mercredi suivant... Evidemment, j'étais un peu stressée, pas tant pour le fait de passer une "entrevue" (comme ils disent ici), mais surtout d'en passer une à L'ETRANGER! On se pose 1000 questions "Et si elle me parle directement en anglais pour me tester? Et si elle me pose des questions pièges? Et si, et si..."
J'ai décidé bien sagement de prendre un bus qui me faisait arriver à l'avance plutôt que "tout juste" : celui de 9h55 pour 11h15 là bas. Adri devait faire quelques courses alors il m'a accompagnée. La boutique se trouve dans la ville souterraine, on a donc eu le choix pour patienter : boutiques, et petit Starbucks (slurp, j'ai gouté leur "moka au chocolat blanc" et Adri un "macchiato au caramel"... succulents! bien que très sucrés, of course) pour décompresser!
Petit Starbucks avant l'entrevue!
Vers 11h05, je vais dans la boutique, on me fait patienter parce que Shirley (sans Dino...warf warf!), la responsable, passe une autre entrevue... Argh!!! La compétition commence! Quoi que, je ne sais pas si c'était pour le même poste... Bref! Elle parait sympathique, bien que ferme, en gros il ne faut pas prendre le truc à la légère! Et franchement, ils ne sont pas faciles leurs entretiens, il faut s'accrocher!!! Elle me fait m'assoir, me tend une feuille verte sur laquelle était écrit, recto-verso, au moins 100 adjectifs comme "loyal, égoiste, sérieux, calme, diplomate, egocentrique, sentimental, honnête"... Elle me dit "sur le recto, vous cocher le plus naturellement qu'il vous semble, les adjectifs qu'à votre avis, les autres attendent de vous. Sur le verso, vous avez la même liste, et vous devez cocher tous les adjectifs qui vous qualifient vraiment. Vous n'avez pas le droit de regarder ce que vous avez mis de l'autre côté." ... Un peu stressant comme exercice, surtout quand la personne en face nous observe attentivement tout en notant des choses sur un carnet!
Après ça, bien sûr, les questions typiques : "pourquoi est ce que vous pensez être la candidate idéale pour travailler ici?", suivi des mises en situations tout à fait invraisemblables pour te tester-trop-sa-race-de-la-mort-qui-tue. Et là, je remercie quand même mon expérience chez Disney Store, parce que ça m'a bien aidée pour y répondre!
Bref, l'entrevue s'est bien passée, et après un petit quiproquo trop long à expliquer ici, j'ai donc été embauchée! J'ai commencé hier, avec une formation de toute une journée en caisse (pfiou, et il y en a des choses à retenir!), et aujourd'hui on m'a assignée à un département du magasin : C'est donc du côté "loisirs" (déco, peintures et créations sur tissus, verre, perles, stickers, muraux etc...) et "loisirs créatifs enfants" que je vais travailler entre 15 et 25h / semaine, le tout dans une ambiance très dynamique et conviviale!
[Je n'ai pas pu prendre de photos dans le magasin comme promis pour les lois sur le marchandisage etc etc, alors voici des photos internet... Ce n'est pas exactement le même, mais vous voyez un peu le genre!]
Et même qu'ils sont tellement trop gentils, que j'ai eu droit à un petit diplôme personnalisé trop cute:
Sooo american!
Vous l'aurez compris : je suis bien contente! :)
Sinon, mardi, nous sommes retournés avec Tatiana du côté du parc LaFontaine, pour y nourrir les écureuils! (oui, on sait, c'est interdit, mais ça vaut vraiment le coup au moins une fois!)
La très jolie rue Sherbrooke, par laquelle on accède au parc, avec toutes ses façades de pierres et de couleurs...
C'est ainsi qu'armés de cacahuètes à décortiquer, nous avons passé presque une heure à les attirer et les faire monter sur nous...
Notre chouchou : un petit écureuil beige clair, avec les yeux gris-bleu! (albinos?) Magnifique!
Avouez que vous vous triturez encore les neurones en vous demandant ce que peuvent bien signifier ces panneaux "ceriseux" (ou pas)... Ne vous inquiétez plus, nous allons vous éclairer! Alléluia!
Nous avons nous-même questionné des québécois, qui ne connaissaient pas non plus leur signification ( La colle!). Cela taraudait tellement Julie, notre locataire, qu'elle a écrit un mail "Que signifie ce panneau?", avec une petite photo jointe, à la société des Transports de Montréal... Et le pire c'est qu'il lui ont répondu! (Je crois bien qu'en France, on aurait pu se gratter pour qu'ils daignent nous répondre!) DONC ... (roulement de tambour... suspens...) Ces panneaux n'ont pas de rapport avec les transports, mais sont en fait destinés aux services d'urgences (pompiers) pour leur annoncer l'emplacement de "gicleurs automatiques", autrement dit, des canalisations incendie. Il y en a avec des ronds "pleins" et rouges, et d'autres "vides", mais je ne sais plus ce que cela signifie. Et puis bon, là on chipote un peu.
(Voilà enfait ce que cela symbolise)
Aaah, ben on s'endormira moins bête ce soir, hein?! :)
Les fins observateurs l'auront deviné : on a pas les mêmes à Lille !
Nous sommes allés boire un verre sur le Plateau avec Julie (à qui on loue l’appart’) et sa copine Natacha. Bar tendance, car avec un nom comme « Edgar Hyper-Taverne », il ne pouvait en être autrement ! Pas de piliers de comptoir, pas plus que de « galopins de Kro », l’établissement se définit lui-même comme « figure de proue dans le type taverne lounge bar » (rien que ça). Dans tous les cas, on était pas vraiment là pour se pavaner avec la clientèle hype, et on a passé un super moment avec les filles, qui ne sont pas avares en bons plans et en petites anecdotes amusantes (ça, c’est pour le « sirop de poteau » - blague privée).
En repartant, nous avons fait un détour pour manger un « shish taouk » dans un kebab, où le patron nous a demandé si en venant nous installer ici nous fuyions Sarkozy... En tout cas il était étonné d’apprendre qu’il y avait plein de kebabs en France !
Le lendemain (vendredi, donc), nous avons consacré notre temps à la recherche d’emploi, à refaire le CV, à scruter tous les sites d’annonces, et à contacter un maximum de personnes. Pour souffler, nous avons fait un petit tour sur Sainte Catherine (sous un soleil de plomb : presque 34°c!!), où nous avons découvert sans doute les deux boutiques où nous allons dépenser la plus importante part de notre budget « loisirs, fringues, et trucs inutiles mais tellement essentiels », j’ai nommé Simons (pour Julie) et Off the Hook (pour Adri). En rentrant, petit détour par le beauuuutiful Apple Store de Sainte-Catherine ouest, qui a ouvert il y a peu de temps. C’était assez impressionnant, sur deux étages, des iPod et des iPhone en veux-tu en voilà, des iMac fonctionnels à 100% (et pas bloqués sur une démo pourrie comme à la Fnac), et presque un vendeur par visiteur (pas forcément acheteur). Vous l’aurez compris, on a pas encore le job, mais on sait déjà où vont partir toutes nos économies !
Off the hook / Upperground boutique et sa déco super tendance !
Sinon, vous vous doutez bien que notre petit détour par IKEA la semaine dernière n'est pas passé inaperçu... Voici quelques nouveaux éléments déco de notre "chez-nous" (comment ça "On s'en fiche?!"):
Un grand sticker "qu'on-kiffe-trop-notre-race" pour habiller le mur de la chambre ...
...et un peu du couloir
nouveaux chemins de table, serviettes, et sets de table...So chic, isn't it?
Sur un mur de la salle à manger, bien en évidence... Il n'y sont pas encore tous bien sûr! (on a dû racheter des cadres!) - Sur la photo on dirait qu'ils ne sont pas droits, mais je vous assure que si!
Samedi, rendez-vous avec Tatiana, pour essayer une nouvelle « place », le Saint-Sulpice, un bar très sympa de Saint-Denis (le quartier latin, si vous suivez bien). Le café a beau être un pur jus de chaussettes (du genre tout sauf sssucculent!), l’endroit est agréable, le personnel aussi… Bref, un endroit où l’on aimera aller de temps en temps (mais pour boire autre chose qu’un café !).
Et pour finir ce billet un peu « fourre-tout », nous nous sommes fait une petite soirée « maki ». Pour toutes les mauvaises langues qui auraient sous-entendu que Julie était une piètre cuisinière (ça c’est pour toi Max, cousin indigne !), voici la preuve du contraire :
(En attendant "la" 10 : le bus nous menant au métro Papineau, pour aller en centre-ville)
Depuis notre arrivée, et entre tous les petites obligations administratives, nous n'avions pas vraiment pris le temps de passer par le Vieux-Montréal. Tatiana (l'amie qui vient de Lille, si vous suivez!) nous en avait parlé de manière très enthousiaste, c'était son quartier "coup de coeur" de Montréal. C'est ainsi que sur un coup de tête, oubliant même nos cartes et nos guides de la ville, nous descendons l'avenue St Denis direction le vieux port.
Nous arrivons dans une toute autre ambiance que ce que nous avions vu jusqu'alors : des saltimbanques côtoient une bonne dizaines de caricaturistes, le tout sur une place jonchée de touristes, sirotant des cocktails en terrasse.
"Touristique", c'est un peu le terme qui nous est venu de suite, tandis que nous traversions les rues menant à l'hôtel de ville, au vieux palais de justice, et autres bâtiments à l'allure "Poudlardesque". Après tout, c'est normal, nous découvrons nous-même avec plaisirs tous les attraits de la ville, et nous sommes prêts à dégainer nos appareils photos à tout va! Qui plus est, nous étions le 1er septembre, jour de la fête du travail au Québec... En plus des touristes, les locaux profitaient donc eux-aussi du temps estival (regardez moi ce ciel bleu!).
L'hôtel de ville de Montréal
Chapelle Notre-Dame-de Bonsecours
Le vieux palais de Justice
euh... on ne sait pas ce que c'est, mais c'est beau!
En allant un peu plus au Sud, on se retrouve sur les bords du fameux fleuve Saint-laurent. Nous avançons à l'instinct, et nous rendons compte en rentrant et en feuilletant nos guides que nous sommes passés à côté de pas mal de trucs à voir de ce côté-là... Mais bon, en 1 an, nous avons le temps de revenir! :)
Le temps est vraiment idéal (Adri adore la châleur, mais pour moi c'est presque trop!), et nous prenons le temps de flâner sur la Promenade du Vieux Port entre les vélos, les segways et les "quicktax".
La Promenade du Vieux Port, avec le pont Jacques Cartier au fond
vue de la Promenade
La "Tour de l'Horloge", aussi appelée Tour du souvenir.Cette tour fut érigée en 1919 pour commémorer la mort des marins tombés au combat durant la première guerre mondiale. (Voilà, ça c'était pour la minute historique) Au fond, on peut apercevoir la "Biosphère", musée de l'environnement de Montréal, sur l'Ile Ste-Hélène.
Le lendemain, nous avons continué sur notre lancée "visite de la ville", en nous rendant du côté de Sainte-Catherine, l'artère commerciale principale du centre-ville (au dessus de la "ville-souterraine"), et qui traverse tout Montréal. Bon soit. Mais nous avions déjà jeté un coup d'oeil aux boutiques environnantes, et nous n'étions pas là pour "magasiner" des heures durant (D'ailleurs notre nouveau compte en banque canadien ne le permet pas encore!)... Et si on passait par là? On continue tout droit pour voir où ça nous mène?
Une petite pause "café à l'américaine"! Sooo delicious! (Il est bien évident que la taille de mon gobelet est "Small"...imaginez la plus grande!)
Cathédrale Marie-Reine du monde
Nous sommes toujours autant surpris de voir les différentes architectures qui se côtoient ici à Montréal : une basilique néo-classique au pied d'un building rutilant, et un bâtiment à la façade haussmanienne sur le trottoir voisin... De même qu'il est toujours agréable d'avancer sur un long boulevard et de tomber sur un petit square, ou un parc verdoyant peuplé d'écureuils.
D'ailleurs comme je ne m'en lasse pas, et pour clore cet article, je vous laisse en compagnie de cette charmante bestiole, qu'on avait réussi à amadouer avec un petit morceau de pain d'épice, du temps où nous étions encore dans le studio :
"qui ça? moi?!"
"Allez, taille la route Casse-Noisette!"(Réplique que seul un nombre très limité de personnes -5 de ma famille, et Vincent)- peut comprendre... Si quelqu'un d'autre trouve d'où elle est tirée, je lui envoie une caisse de sirop d'érable!)
A plus les zamis! Et merci pour tous vos commentaires, qui nous font toujours le plus grand plaisir! :)
Salut à tous!
